20 February 2020

Edito de Julien Séraqui - Eletter du 20 février 2020

Chères Consœurs, chers Confrères,
 
L’année 2019 a été dense pour la Chambre et, d’une manière générale, pour la profession de conseil en gestion de patrimoine. L’année 2020 s’annonce tout aussi intense.
 
D’abord, la Chambre a connu une forte progression du nombre d’adhérents, qui porte nos effectifs à près de 1 600 cabinets (+ 8%) et 3 000 dirigeants et salariés (+ 15% !), soit 60% des CGP en France. Cette croissance nous permet d’avoir plus d’influence pour sensibiliser nos tutelles et régulateurs aux problématiques de notre métier.
 
La majorité de ces nouveaux adhérents nous ont rejoints car ils connaissaient des adhérents de la Chambre qui ont su les convaincre de la qualité de nos services.
 
En un mot, vous êtes notre meilleure pub !
 
L’année a aussi été marquée par l’obligation de valider les trois modules de formation CIF pour pouvoir continuer à exercer en 2020. Seuls deux dirigeants se sont finalement trouvés en défaut de formation, soit un résultat admirable de 99,9 % d’adhérents formés.
 
La Chambre a reçu les félicitations de l’AMF pour cette performance, félicitations que je vous transmets car elles vous sont avant tout destinées.
 
J’attire votre attention sur le fait qu’à partir de 2020, votre obligation de formation CIF est chaque année de 7 heures validées par un QCM, que vous soyez dirigeants ou salariés, que vous ayez la certification AMF ou pas.
Veillez donc à remplir cette obligation avant le 31 décembre de chaque année.
 Le plus simple étant, comme vous en avez l’habitude, de suivre vos formations au cours des réunions régionales et des universités.
 
Un autre rendez-vous incontournable en 2020 est notre Assemblée générale qui aura lieu le 9 juin à Paris. Une fois n’est pas coutume, cette AG ne sera pas suivie de notre Congrès annuel. En effet, celui-ci fusionne avec le Sommet BFM Patrimoine et se tiendra en fin d’année.
 
J’espère vous voir nombreux à cette AG, elle est importante car elle nous permettra de mettre en adéquation les statuts de la Chambre avec la réforme des associations de courtiers en assurance et en IOB.
 
Je vous rappelle que la plupart d’entre nous sommes déjà courtiers et, qu’une fois la réforme votée, la Chambre acceptera dans ses effectifs uniquement des courtiers qui nous ressemblent. Il n’est pas question de nous dénaturer et de se diluer dans une population qui exerce un métier différent du nôtre.
 
Pour défendre nos intérêts, il faut être en nombre pour peser mais également être une population homogène.
 
Bien confraternellement,


Julien Séraqui
Président