11 juillet 2014

Les mesures d’application de la nouvelle directive MIF risquent de nuire aux épargnants

Ce jour a été adressé à nos autorités tutélaires, à Bercy, au Premier Ministre, ainsi qu’à l’ensemble de nos parlementaires, tant au niveau national qu’européen, un communiqué commun de l’AFG, l’AFIC, la FAIDER, l’ASPIM, et de toutes les associations de CIF.

Ce communiqué que vous trouverez ici, rappelle la position commune de l’ensemble des signataires concernant l’application possible de la directive MIF2. Comme vous le savez l’ESMA, autorité européenne des marchés financiers, consulte actuellement l’ensemble des acteurs sur les suites concrètes de la directive MIF2.

La Chambre a été à l’initiative de cette démarche commune en associant initialement Jean-Pierre Rondeau, président de la Compagnie des CGPI.

Comment ce communiqué est né ?

Nous avons tout d’abord discuté depuis de nombreuses semaines avec l’AFG, en la personne d’Eric Pinon, président de la commission des sociétés de gestion entrepreneuriale à l’AFG, afin de nous entendre sur une communication forte relayant le caractère vertueux de notre business modèle.

Nous avons la chance, comme vous le savez, d’avoir des liens privilégiés avec la FAIDER (Fédération des Associations Indépendantes de Défense des Epargnants pour la Retraite, 1.5M d’adhérents). Cette dernière a souhaité se joindre à notre action.

L’ASPIM (Association Française des Sociétés de Placement Immobilier) que nous avons également contactée a voulu participer à cette action commune.

Nous avons ensuite proposé à l’ensemble des associations CIF d’être également signataires de ce communiqué commun d’envergure (Anacofi-Cif, CNCIF, Compagnie des CGPI).

Motivé par un intérêt commun ce communiqué a pu voir le jour. La Chambre est très fière d’avoir pu porter ce projet pour la défense de nos intérêts, et ce avec tous les signataires, ce qui est une première en France.

Nous ne cesserons de marteler ce message « producteurs, distributeurs, consommateurs, alliés pour assurer la pérennité de notre profession ».